Evidemment on aimerait changer la société mais cela demandera encore plus de livres et encore plus de soutien ! Merci !! Continuons ensemble de rabâcher encore et encore et si ça en gène certains, c'est qu'on n'est pas loin de les avoir démasqués :-)
Critiques du staff
Lauriane le jeu 14 jui 2011
Salle de bains. Flash info : « Société. En France, une femme meurt tous les deux jours et demi sous les coups de son conjoint. Déclarée «grande cause nationale» pour 2010 par le gouvernement, la lutte contre les violences faites aux femmes a donné lieu au vote d'une loi le 9 juillet 2010...»
C’est à ce moment-là que mes yeux ont croisé ceux de mon reflet dans le miroir, redécouvrant des images qu’ils y avaient soigneusement enfouies…Elles sont l’œuvre de 34 auteurs (et pas des moindres) mobilisés autour de Marie Moinard, éditrice, pour défendre les droits de la femme, des femmes. D’Awa, victime d’excision au nom d’une tradition barbare, de Cristina, victime de la traite des êtres humains, d’Elle, alias Barbie, victime du harcèlement psychologique de son supérieur, de Yamina, victime de viol perpétré par un « ami », de Gwénaëlle, victime de viol collectif et de prostitution organisés par son conjoint, de Françoise, victime de viol et violences conjugales et de Marie, oui, Marie Moinard, victime des coups de son grand amour.
Malgré la violence des faits rapportés, la pudeur graphique est au rendez-vous. Certaines histoires, brillamment contées et dessinées s’inscrivent dans nos mémoires. Il n’est plus dès lors possible d’ignorer, ni de fermer les yeux sur cette barbarie d’un autre âge. Savoir et ne pas accepter est un premier pas, une forme de militantisme, celui qui amènera la société à changer. Et il n’en coûte qu’une BD… [-] Réduire
C’est à ce moment-là que mes yeux ont croisé ceux de mon reflet dans le miroir, redécouvrant des images qu’ils y avaient soigneusement enfouies…Elles sont l’œuvre de 34 auteurs (et pas des moindres) mobilisés autour de Marie Moinard, éditrice, pour défendre les droits de la femme, des femmes. D’Awa, victime d’excision au nom d’une tradition barbare, de Cristina, victime de la traite des êtres humains, d’Elle, alias Barbie, victime du harcèlement psychologique de son supérieur, de Yamina, victime de viol perpétré par un « ami », de Gwénaëlle, victime de viol collectif et de prostitution organisés par son conjoint, de Françoise, victime de viol et violences conjugales et de Marie, oui, Marie Moinard, victime des coups de son grand amour.
Malgré la violence des faits rapportés, la pudeur graphique est au rendez-vous. Certaines histoires, brillamment contées et dessinées s’inscrivent dans nos mémoires. Il n’est plus dès lors possible d’ignorer, ni de fermer les yeux sur cette barbarie d’un autre âge. Savoir et ne pas accepter est un premier pas, une forme de militantisme, celui qui amènera la société à changer. Et il n’en coûte qu’une BD… [-] Réduire
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